vendredi 8 mai 2009













Ichkeul : 1 nature, 3 dimensions !
On dit que la nature fait bien les choses, le parc d’Ichkeul en est la sublime illustration. Situé à une heure de route de Tunis, le parc national d’Ichkeul est un mélange de faune et de flore sauvages d’une richesse incommensurable. En effet, le lac Ichkeul est unique ; il a la particularité de renfermer des eaux douces une partie de l’année, et des eaux salées pendant l’autre période. Phénomène naturellement impressionnant !


















Pour en savoir plus

Le lac Ichkeul (بحيرة إشكل) est un lac du nord de la Tunisie situé près du rivage de la mer Méditerranée. Il fait partie du parc national de l'Ichkeul.Le lac et les marécages servent chaque année de lieu d'arrêt pour des centaines de milliers d'oiseaux migrateurs en partance vers l'Afrique sub-saharienne. En hiver, le lac est alimenté par de l'eau douce, provenant des oueds à proximité tandis qu'en été il l'est par de l'eau de mer.Les villes de Tinja, Mateur et Menzel Bourguiba se trouvent à quelques kilomètres du lac.Le lac fait partie du parc national qui est lui-même classé dans la liste du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1980. En 1996, le site est inscrit sur la liste du patrimoine mondial en péril à cause d'une augmentation de la salinité de ses eaux qui menace de centaines de milliers d'oiseaux migrateurs.Des images prises par satellite montrent en effet l'évolution du niveau du lac et de la végétation aquatique entre le 14 novembre 2001 (partie supérieure) et le 29 juillet 2005 (partie inférieure), la végétation apparaissant en rouge[1]. Malgré que le niveau du lac soit plus élevé en 2005 qu'en 2001, une large partie du lac apparaît en rouge en raison de la présence de plantes aquatiques car les barrages construits en amont ont réduit de façon importante l'apport d'eau douce dans le lac et les marais, les plantes d'eau douce ayant été remplacées par des plantes adaptées au milieu salé[1]. Ces changements ont engendré un réduction significative des populations d'oiseaux migrateurs qui dépendent de la variété des plantes qui existaient auparavant. Les autorités tunisiennes mettent alors fin à l'utilisation agricole des eaux du lac, réduisant progressivement la salinité et permettant le retour de nombreuses espèces d'oiseaux sur le site. En 2006, ce dernier est donc retiré de la liste du patrimoine mondial en péril.




Reportage !





Le mercredi 6 mai 2009 est un jour peu ordinaire pour la plupart d’entre nous. Le lac Ichkeul, qui se situe pourtant à une heure de route de Tunis, est un site que peu de Tunisiens a visité. Arrivés sur le site, nous sommes du coup impressionnés par cette nature, si sauvagement façonnée. Si la montagne est copieusement peuplée d’arbres - je ne m’aventurais à vous en énumérer les espèces pour ne pas défigurer la nature-, le lac est par contre d’une extension telle que seul le vent peut balayer les dimensions.Les mots ne suffisent certainement pas à décrire cette nature si agréablement accueillante malgré son austérité ! Nous décidons donc à aller l’admirer des yeux, l’explorer par la vidéo et l’immortaliser par l’image.J’ai oublié un détail. Cette visite que nous effectuons sur le site d’Ichkeul s’inscrit dans le cadre d’un stage de formation au CAPJC sur le rich média, session animée par Alain Joanès. Pour ne pas rester en marge, je décide donc d’écourter le texte, les autres formes d’expression vous accompagneront sur le site. Bonne visite !



















The making off





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